jeudi 14 janvier 2016







Après la Peur dans l'ombre, voici mon dernier roman...avec Marseille en toile de fond.
En lecture numérique : http://goo.gl/DwzXi7

vendredi 16 octobre 2015

Télécharger le nouveau roman de Corinne Héron-Mimouni

Télécharger le nouveau roman

Enfin, si vous le souhaitez ! Mais chère lectrice et cher lecteur, devinez le plaisir que je ressens à vous annoncer la sortie de mon dernier livre. Pas de document cette fois, comme avec Matonne, mémoires de Fresnes et d'ailleurs ou encore Matonne de jeunes. Pas d'histoire vécue avec mille et un rebondissement comme dans Monaco et le prisonnier du Rocher...
Non, un roman dis-je, le second après La peur dans l'ombre. Je ne vais pas vous tenir en haleine plus longtemps...Voici :

L'effrayante transparence des sentiments http://urlz.fr/2y7F

« ...Je m'occupe de toi... » Voilà le message vocal que reçoit Cammys.
Réfugiée dans le village de Sallery, Cammys pourrait prendre la mise en garde pour une agréable protection. Hélas, la voix et les faits ne lui laissent aucun doute. Il s'agit d'une « douce » menace…Comme le roman, le harceleur est pétri de contradictions. Entre amour et haine, les sentiments ne se dévoilent pas.
Marseille, dans cette ville du bord de la méditerranée, Cammys gagne sa vie comme copiste d'art. Une vie ordinaire. Mais l'histoire commence bien avant la première ligne. Autour d'elle, les secrets puisent leurs racines dans l'ombre du passé. Cammys tente d'être forte. La peur et l'affolement pourraient l'envoyer vers les abîmes de l'âme humaine... Alors, il sera plus confortable de nier l'évidence de visites fantômatiques. Même si celles-ci ont déjà tuées


lundi 1 décembre 2014

E book ou papier ?

Vous aimez lire ?

Vous aimez lire, alors la question ne se pose pas entre le numérique et le papier. Entre nous, pas de guerre du livre...
Ce qui compte, n'est-ce pas, est le contenu. La prose, le texte...la poésie ou le suspense d'une histoire bien montée. Bref, ce que vous aimez....

Le monde de l'édition change.

Ce n'est pas un bouleversement que l'on peut regretter. Seul ceux qui gagne leur vie  grâce aux maisons d'édition regrette le merveilleux temps des livres papier. Puis, il y a les nostalgiques du livre papier. Uniquement des livres papier. L'odeur de l'encre et parfois l'odeur du papier humide lorsqu'un exemplaire jauni est retrouvé au fond d'un vieux carton dans la cave ou le sous-sol.
Mais les autres, les lecteurs de contenu et pas amateur de contenant. Ils savent apprécier la légèreté d'une liseuse. La facilité avec laquelle ils basculent vers le dictionnaire intégré. La possibilité d'écrire des annotations, de surligner des passages du texte. De profiter de prix attractifs (mais là difficile de se tourner vers les éditeurs classiques, ils ont oublié de déduire de leurs frais les frais de transport, de papier, de distribution....).
Alors lire, oui. A chacun ses préférences. Et pourquoi pas les deux....En format papier ou en format numérique. La boucle est bouclée.

La peur dans l'ombre, en numérique :
http://urlz.fr/ZJM

La peur dans l'ombre, en papier :
http://urlz.fr/ZJQ

Monaco et le prisonnier du rocher, en numérique :
http://urlz.fr/ZJS

Monaco et le prisonnier du rocher, en papier :
http://urlz.fr/ZJV

 

vendredi 21 novembre 2014

Monaco vous intéresse ?

     Monaco vous intéresse et vous vous êtes  plongés hier soir dans le documentaire "Monaco, le Rocher était presque parfait". Bien vous en a pris. L'émission valait le détour. Mais pourquoi ne pas continuer à visiter #Monaco par un chemin un peu plus détourné ?
Grâce au témoignage de Luigi Ciardelli, enfermez vous avec lui dans les geôles de la principauté. Une visite qui vous transformera en Edmond Dantes, (Le comte de Monte-Christo d'Alexandre Dumas) vibrant sous les coups de l'injustice. Sortirez-vous de votre cellule .....
Préparez bien votre plan, car il vous faudra être à la hauteur de Luigi Ciardelli et de son plan diabolique !

http://urlz.fr/WWC

Et bientôt à nouveau en format papier...

vendredi 3 octobre 2014

Monaco et le prisonnier du rocher

MONACO ET LE PRISONNIER DU ROCHER à 2 ,68 euros à partir d'aujourd hui !
Une évasion (vécue) comme vous ne l'imagineriez pas dans un film !
http://urlz.fr/Ihq

Et pourtant....par où est-il passé de prisonnier du rocher ?

mardi 23 septembre 2014

Monaco et le prisonnier du rocher

Monaco et le prisonnier du rocher...

dans sa nouvelle édition tout en numérique (vive le progrès..) est en ligne depuis maintenant plusieurs semaines. C'est évident, cette histoire vécue intrigue ! Comment cet homme, emprisonné entre les hauts et épais murs de la prison de Monaco s'est ...réellement ...évadé !
Mais avant de se faire la belle, il en a vécu des journées terribles Luigi Ciardelli ! En voici un passage au air de vol au dessus d'un nid de coucou...
 
Un extrait pour le plaisir :
 
..."L’ambulance tourne à gauche dans un virage en épingle à cheveux.
Un sol de bitume rose. Des palmiers qui encadrent l’entrée. Une femme me regarde et je lève le menton.
L’ambulance s’est garée au bout du chemin. Je marche, les mains serrées par les menottes. Encadré par les deux flics.
– Alors je vais voir qui ? je demande.
L’un des policiers a une enveloppe dans la main. Un courrier de docteur à docteur.
– Docteur Farla, qu’il me répond.
– Et ? dis-je.
– Service psychiatrie, lâche-t-il.
Je suis assis dans une salle d’attente. Mes deux cerbères de chaque côté n’en mènent pas large. Dans leur tête, ils imaginent ce que ça va donner si je refuse cette saloperie de visite psychiatrique. J’ai bien envie de les envoyer balader façon Luigi. Mais si je rumine, je n’en deviens pas idiot pour autant. Je ne sais pas qui a concocté cette petite promenade aux pays des fous, mais je ne le sens pas bien. Je ne veux pas donner raison à ce comploteur. Et tous les autres, qui auraient pu me dire où j’allais ! Je leur aurais évité la balade. Mais non, c’est conciliabules et secrets.
Le silence est à couper au couteau. Il n’y a pas un des deux uniformes qui pipe mot.
J’attends donc, bien sagement assis dans la salle d’attente. Les menottes aux poignets. Près de nous, il n’y a personne. À croire que la salle est réservée pour Ciardelli, le taulard. Il ne faudrait pas que mes bijoux aux poignets effraient les âmes sensibles de l’hôpital. Pourtant, le filet qui m’isole a des fuites parce qu’un couple passe devant moi. Ils me regardent sans me voir jusqu’à ce que leurs yeux s’accrochent à mes chaînes. Après la surprise, je vois leur visage se figer dans une indifférence feinte.
– M. Ciardelli, appelle une femme en tenue d’infirmière. Une blondinette dans des sandales d’hôpital.
Je me lève. Les deux policiers à ma suite comme un seul Ciardelli.
– Ce bureau, je vous prie, montre la blonde.
C’est au moment où j’ai passé la porte que j’ai compris que je tombais dans un traquenard. Les policiers bloquaient la sortie, comme d’habitude. J’ai le temps d’apercevoir le regard étonné d’un policier qui n’a pas l’air de savoir de quoi ça retourne. Je m’accroche à ses yeux parce que je sens que je vais basculer dans un engrenage dont je ne connais pas les rouages.
Dans la pièce, il y a trois types. Je mets un pied à l’intérieur et le tas de muscles qui vient sur ma droite se glisse derrière moi. Devant, les deux autres m’attrapent par un bras. Mes poignets me font mal. Ils me tirent jusqu’à un lit. Il y en a un qui me pousse dessus et je ne peux pas me défendre. Un autre m’attrape les pieds.
Ligoté. Attaché comme un barge dans une camisole.
N’importe qui aurait lutté. J’ai lutté. Mais j’avais les mains qui ne suivaient pas parce que j’avais les menottes. Mes pieds comme dans un bloc de ciment.
L’aiguille dans mon bras, je n’ai pas compris.
 
Et bientôt il y aura de la promo dans l'air autour de cette version numérique...A suivre...